Soulèvements de la Terre : 1 banderole = 5 gardes à vues 

Soulèvements de la Terre : 1 banderole = 5 gardes à vues 

Crédits photos : Sarah Leveaux @engrainage.media

Ce samedi 5 février, une action co-organisée par Extinction Rebellion Lyon et Youth for Climate Lyon s’est déroulée sur la place des Terreaux.
Nous avons souhaité dénoncer les activités écocidaires de Bayer Monsanto[2], dont le siège social en France se trouve à Lyon. Nous inscrivons cette action symbolique dans le cadre de la campagne décentralisée des Soulèvements de la Terre [1], à un mois de la mobilisation massive prévue à Lyon le 5 mars 2022.
La mobilisation symbolique et artistique, avec l’intervention d’un groupe de danse, a été réprimée par les forces de l’ordre de manière sournoise, en suivant les militant-e-s pour les interpeller à bonne distance de la foule. Plusieurs personnes sont à l’heure actuelle en garde à vue, notamment des mineur-e-s.

Pour une banderole ignifugée posée sur une lourde grille en métal, on interpelle des militant-e-s qui essayent simplement d’appeler à la réaction face à la destruction du vivant causée par les multinationales comme Bayer Monsanto. Ce n’est malheureusement pas une surprise venant d’un pouvoir sourd et aveugle aux revendications, s’appuyant lourdement sur le soutien des forces de l’ordre pour ne pas être submergé par son impopularité. C’est une preuve de plus, s’il en fallait, que les forces de l’ordre sont et seront toujours au service des puissances bourgeoises, contre la volonté des peuples.

Ils ne nous feront pas taire.

Nous continuerons de nous battre pour une justice climatique et sociale. Nous continuerons d’affirmer que Bayer Monsanto n’a sa place nulle part, ni à Lyon ni ailleurs. Nous restons mobilisé-e-s et déterminé-e-s, et nous tenons prêt-e-s pour désarmer l’agroindustrie le 5 mars. 

Contacts presse :

Luna : 06 23 63 22 15
Mail : presse@youthforclimatelyon.fr

Soutien des multinationales et demande de dissolution de la GALE : lettre ouverte des Soulèvements de la Terre

Soutien des multinationales et demande de dissolution de la GALE : lettre ouverte des Soulèvements de la Terre

La semaine dernière, le maire LR de Caluire Philippe Cochet et quelques autres élus ont publiquement pris la défense d’une des multinationales les plus toxiques de la planète et appelé à la dissolution du groupe antifasciste La Gale (Groupe Antifascite de Lyon et Environs).

Ce dernier avait commit la faute, impardonnable selon ces élus, de relayer un appel national à se mobiliser le 5 mars devant le siège de Bayer-Monsato. L’appel à mobilisation incriminé (https://lessoulevementsdelaterre.org/blog/assieger-bayer-monsanto-lyon) émane en fait des Soulèvements de la Terre et d’un certain nombre d’organisations comme Extinction Rebellion 69 , Youth For Climate, le Syndicat d’Apiculture du Rhône, les Faucheurs volontaires ou encore la confédération paysanne. Non contents d’afficher leur soutien aux glorieux inventeurs de l’Agent Orange ou du glyphosate en pleine période d’extinction critique de la biodiversité, Mr Cochet et ses collègues ont eu l’heureuse idée d’enjoindre les élus verts de la métropole à faire de même. C’est l’occasion de rappeler à ces écologistes, dans la  lettre ouverte ci-dessous, que leurs fondamentaux devraient plutôt les pousser à nous aider à mettre prochainement Bayer-Monsanto dehors.

Lettre ouverte des Soulèvements de la Terre en réaction à la demande de dissolution de la GALE

Comme Extinction Rébellion Lyon et Youth for Climate Lyon, les Soulèvements de la terre soutiennent le Groupe Antifasciste Lyon et Environs (GALE)  que nous remercions d’avoir relayé notre appel à agir contre Bayer-Monsanto.

En apportant leur soutien en 2022 à cette industrie mortifère, Philipe Cochet et les républicains ont eu à cœur d’étaler leur déni profond de l’état du monde qui les entoure.  Ces hommes d’un autre âge n’ont pas encore compris qu’il ne serait pas éternellement possible d’invoquer l’emploi pour recouvrir l’ampleur de la toxicité de la production de  cette multinationale : toxique pour l’environnement, les paysans qui utilisent ces produits ainsi que pour les ouvriers qui les produisent. 

Ces valeureux élus LR en profitent opportunément pour demander la dissolution de la GALE et appeler Grégory Doucet et Bruno Bernard, verts aujourd’hui à la tête de la métropole lyonnaises, à faire de même.  En 1945 à la sortie de la guerre, l’antifascisme était le discours officiel des organisations politiques du « monde libre ». Aujourd’hui, c’est la xénophobie qui dispute l’actualité au nationalisme pendant que l’antifascisme est au tribunal. À Lyon, les discours racistes se transforment régulièrement en actes. Ici comme ailleurs nous ne pouvons nous passer d’organisations antifascistes. 

Grégory Doucet et Bruno Bernard, plutôt que de hurler avec les loups comme certains vous y invitent, nous vous enjoignons – au nom de vos convictions politiques – à agir concrètement contre l’activité d’une des multinationales les plus notoirement coupables d’écocide au monde et contre sa présence dans la métropole.

En 2018, Bayer a acquis Monsanto et a installé son siège social français dans le 9e arrondissement de Lyon.

Ces deux entreprises ont montré en 50 ans toute leur nocivité. PCB, OGM, glyphosate, Round’up, gène Terminator, sang contaminé… La liste de scandales sanitaires et sociaux qui accompagne ces deux firmes est elle même un scandale. Il est par ailleurs à peine concevable que ces firmes existent encore tant leur histoire lointaine est une insulte aux populations : l’Agent Orange de Monsanto continue ses effets néfaste encore aujourd’hui.

La puissance de com’ de Bayer ne suffit pas à recouvrir les mensonges et intrigues de la firme : malversations, falsification scientifique et ghost-writting, fichage des opposants et journalistes, lobbying agressif. Pour rappel, Bayer-Monsanto n’a jamais reconnu la nocivité du glyphosate et n’a jamais fait amende honorable malgré ses multiples condamnations.

Nous pensons que chaque force écologiste doit agir localement, là ou son action est la plus à même d’avoir des résultats direct, pour démanteler chaque industrie qui participe activement à la dégradation de nos milieux de vie. Il est insupportable de voir Bayer-Monsanto trôner dans le 9ème arrondissement, assis sur tous ces scandales. Mercredi,  Extinction Rebellion Lyon est passé leur signifier par voie de peinture notre prochaine venue.

Nous ne voulons pas de sa nouvelle révolution agricole, l’agriTech, qui repose sur les satellites, la big-data, l’intelligence artificielle et la robotisation. Cette révolution sera synonyme d’encore plus de dépendance des paysans aux multinationales et aux start-up et permettra à Bayer-Monsanto de continuer à vendre son round’up.

Nous ne voulons pas de la nouvelle génération d’OGM « climate ready » qui adapteront le vivant à survivre au réchauffement climatique. 

Il faut changer de modèle. Et ce n’est pas le programme de Macron, France 2030, qui va changer la donne ! Bien nourrir les populations ne se ferra pas en investissant massivement dans la génétique, le numérique et la robotique comme le Président le soutient.

Libérons les terres de la chimie et des machines de Bayer-Monsanto. Rendez-vous le 5 mars à Lyon pour les assiéger  ! 

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Destruction des affiches publicitaires géantes de la place Bellecour

Destruction des affiches publicitaires géantes de la place Bellecour

Ce Dimanche 20 Juin au matin, des activistes de Youth for Climate Lyon ont rendues inutilisables deux affiches publicitaires géantes présentes sur les échafaudages de la place Bellecour. Constituant une atteinte visuelle à laquelle personne n’a consenti sur une place pourtant classée au Patrimoine Mondiale de l’UNESCO, la publicité, surtout quand elle est de cette ampleur, produit des effets lourds de conséquences sur la surproduction et la surconsommation, en incitant les citoyen·nes à consommer toujours plus. De plus, les multinationales Zalando et Renault promeuvent de cette manière un modèle de consommation qui n’est plus en phase avec la transition écologique et sociale nécessaire pour nos sociétés de demain. La Métropole de Lyon doit agir rapidement pour interdire ces bâches publicitaires agressives et ne servant que les intérêts des multinationales.

Un trop-plein de publicité

Depuis plusieurs semaines, des affiches publicitaires géantes étaient installées place Bellecour. Ces affiches nous imposent des messages publicitaires, qui nous poussent à la surconsommation.

La publicité dans l’espace public représente un gavage d’informations permanent auquel personne n’a jamais consenti. Et pourtant, chaque citoyen·ne reçoit en moyenne entre 1200 et 2200 messages publicitaires par jour1. Nous dénonçons l’emprise de celle-ci sur nos esprits au quotidien : que ce soit en termes d’incitation à la dépense inutile, d’invasion de notre temps de cerveau disponible ou de véhiculation de tous les clichés possible (sexisme, apologie de la finesse et d’une beauté conformiste,…), la publicité ne profite pas aux consommateurs et consommatrices, mais bien aux multinationales. En effet, les petits commerces n’ont pas accès à la publicité, surtout de cette envergure : 0,0002% des entreprises françaises monopolisent 80% des publicités2. Et quelles entreprise !

Des entreprises allant à l’encontre des enjeux d’une transformation écologique et sociale nécessaire

Pour la première, il s’agit du site internet de vente de vêtements en ligne Zalando. Cette entreprise promeut une vision consumériste du vêtement, en incitant de par sa conception et son existence à l’achat excessif et superflu de produits vestimentaires : utilisation d’algorithmes, de systèmes de points, de publicité agressive. La grande majorité des produits proposés par le site sont issus du travail d’emplois précaires (conditions de travail, revenus, sécurité sociale) et de l’exploitation des ressources naturelles. Enfin, la présence de ce site contribue à l’agonie des commerces de proximité détruisant l’économie locale (emplois, vie de quartier).

Pour la seconde, c’est un SUV hybride de la marque Renault qui est mis en avant. Cette voiture entre dans une dynamique de green-washing commune à de nombreuses marques du secteur. En effet, plutôt que d’amorcer une transformation de son activité, Renault préfère introduire un moteur hybride, ce qui implique un alourdissement conséquent de la voiture (et qui influe sur la consommation, donc sur les émissions de GES et de particules fines), afin de donner un aspect faussement écologique au SUV et d’échapper au malus écologique qui lui aurait été imposé à la vente. Mais sur ce point encore, le concept même de voiture électrique ne représente pas une solution à l’heure actuelle aux problèmes sociaux et écologiques : le besoin de terres rares pour les batteries ainsi que le celui d’électricité rendent le cycle de vie d’un véhicule électrique (ou hybride) délétère.

Les militant·es de Youth for Climate Lyon soulagent les yeux des lyonnai·ses

En réponse à cela, les militant·es de Youth for Climate Lyon sont allé rendre illisibles et inutilisables ces bâches publicitaires géantes à travers une action de désobéissance civile. Si l’action a bien réussi sur la bâche Renault, elle n’a malheureusement pas pu aboutir sur le deuxième échaffaudage. Mais les dommages déjà causés suffiront peut-être à voir la publicité retirée ?

Youth for Climate Lyon rappelle à la Métropole de Lyon et à la mairie centrale qu’elles ont été élues sur des programmes se voulant écologistes et sociaux. La question de la publicité dans l’espace public est une question urgente et facile à régler. Nous attendons donc une action rapide des pouvoirs publics sur ce sujet.

Contacts presse :

Theo GOSSET : 07 73 27 65 79
Marin BISSON : 06 51 12 62 66
Mail : presse@youthforclimatelyon.fr

Grève du 19 Mars : Avenir à prendre, système à pendre !

⚠️ CHANGEMENT DE POINT DE DÉPART : Suite à la décision tardive de la préfecure d’interdire le départ de la manifestation sur la place de la Comédie, celle-ci démarrera depuis la place Maréchal Lyautey.

Grève du 19 Mars : Avenir à prendre, système à pendre !

Le Vendredi 19 Mars se tiendra dans le monde entier une grève mondiale pour le climat, à l’appel de Fridays for Future et de sa branche française Youth for Climate. À Lyon, une manifestation partira à 14H de la place Maréchal Lyautey et en direction du Crous, pour finir au Parc Sergent Blandant. Soutenue par de nombreuses organisations, les jeunes lutteront contre la destruction des mesures de la Convention Citoyenne pour le Climat, contre la précarité étudiante amplifiée par la crise de la Covid-19, et pour la tenue d’une Convention Citoyenne pour le Climat en Auvergne-Rhône-Alpes.

« La loi Climat Résilience était une véritable occasion d’agir de manière forte pour le climat et l’environnement. En détruisant plus de 80% des mesures, le gouvernement a une fois de plus échoué à remplir sa mission d’intérêt général qu’est la garantie d’un avenir décent à la jeunesse. » déplore Erwan de Youth for Climate Lyon.

« C’est aussi en réaction à la destruction des mesures de la convention citoyenne pour le climat que s’est lancé le collectif Pour une Convention Citoyenne en AURA, aujourd’hui composé de plus de 40 associations, et que nous soutiendrons vendredi. La réponse à la crise sociale et climatique ne peut être trouvée en dehors d’une réelle démocratie », Léa de Youth for Climate Lyon

Se tenant dans plus de 40 villes de France, et des centaines à travers le monde, la mobilisation portera aussi la lutte contre la précarité étudiante :

« Les étudiant·es en situation de précarité alimentaire se multiplient avec la crise de la Covid. » rappelle Thaïs, Youth for Climate Lyon. « Et c’est sans compter la détresse psychologique qui sévit parmi la jeunesse. En cours à distance toute la journée, le couvre-feu s’est rapidement transformé en confinement généralisé. La crise climatique est indissociable de la crise sociale.»

Accompagnée de plusieurs syndicats ayant appelé à la grève également pour les professeurs et l’ensemble des personnels de l’éducation nationale, la jeunesse manifestera sous un mot d’ordre clair : “Avenir à prendre, système à pendre”.

Contacts presse :

Thelma DUMONT : 06 38 10 27 68
Erwan NICOLAS : 07 82 30 42 72
Mail : presse@youthforclimatelyon.fr

19 Mars : Journée mondiale de mobilisation de la jeunesse pour le climat et la justice sociale

19 Mars : Journée mondiale de mobilisation de la jeunesse pour le climat et la justice sociale

Le 19  Mars 2021 prend place dans le monde entier une nouvelle journée de mobilisation pour le climat et la justice sociale. À Lyon, une manifestation est organisée par Youth for Climate au départ de l’Hôtel de Ville (Place de la Comédie) à 14H. La jeunesse, malgré l’impact de la crise sanitaire sur son quotidien et la place de celle-ci dans l’actualité, criera à nouveau l’urgence écologique, son soutien aux mesures bafouées de la Convention Citoyenne pour le Climat, et se fera le porte-voix d’une précarité étudiante toujours grandissante et exacerbée par la covid-19.

Une fois de plus, la jeunesse se mobilisera pour le climat et la justice sociale le 19 Mars 2021.Motivée par l’inaction toujours flagrante du gouvernement et des pouvoirs publics pour garantir son avenir, elle continue, 2 ans après la première grève pour le climat du 15 Mars 2019, de rappeler l’urgence climatique, celle d’écouter les scientifiques, celle d’une transition radicale et socialement juste, et celle d’un système plus démocratique. Le saccage des mesures de la Convention Citoyenne pour le Climat, dont plus de 80% ont été modifiées ou tout simplement supprimées, n’est qu’une illustration de plus de l’absence de volonté du gouvernement à prendre des mesures réelles. L’ensemble des instances d’évaluation des mesures est critique. Du Haut Conseil pour le Climat qui dit du projet de loi que les mesures qu’il contient « ont un potentiel limité[…] soit à cause de leur périmètre d’application restreint ou des délais allongés de mise en œuvre » [1] au CESE affirmant que la « mise en œuvre [des mesures] à terme rapproché est incertaine » et qualifie les mesures prises d’ « insuffisantes »[2], en passant par le Conseil d’État qui souligne que l’étude d’impact est « trop souvent superficielle » [3], il ne semble rester des 149 propositions formulées par les citoyen·nes qu’une silhouette disparaissant sous la montagne d’expérimentations et remises à plus tard.

Dans le même temps,  les jeunes manifesteront leurs aspirations démocratiques en soutenant le collectif  Pour une Convention Citoyenne pour le Climat en Auvergne Rhône Alpes, auquel Youth for Climate participe depuis déjà plusieurs mois.

Enfin, face à l’oubli flagrant de la condition des étudiant·es dans la gestion de la crise sanitaire, Youth for Climate manifestera pour l’avenir autant que pour le présent.  Alors même que 23% des jeunes disent avoir eu des pensées suicidaires pendant le premier confinement, et que 64% d’entre eux ont ressenti une détresse psychologique significative, 42% des jeunes de 18-25 ans déclarent avoir eu des difficultés à financer des actes médicaux durant les 3 derniers mois, et 52% avoir eu des difficultés à payer leur logement [4]. Mais vraisemblablement, le gouvernement préfère  enquêter sur « l’islamo-gauchisme » dans la recherche universitaire plutôt que de s’atteler au problème, et assurer à la jeunesse un avenir décent.

Ainsi, face à la réaction urgente que nécessite le changement climatique, la précarité étudiante et le renouveau démocratique, Youth for Climate organise le 19 mars prochain  une manifestation partant à 14h de la Place de la Comédie. En passant devant la préfecture et le siège du Crous pour finir au Parc Sergent Blandant, elle souligne ses revendications. Elle s’inscrit dans une journée d’action mondiale du mouvement Fridays for Future pour laquelle plus de 30 villes françaises ont déjà annoncé une mobilisation.

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Thelma DUMONT : 06 38 10 27 68
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Notes :

[1] Haut Conseil pour le Climat – « Avis portant sur le projet de loi Climat et Résilience » : https://www.hautconseilclimat.fr/wp-content/uploads/2021/02/hcc-avis-pjl-climat-resilience-1.pdf
[2] Conseil Économique Social et Environnement – « Climat, neutralité carbone et justice sociale » : https://www.lecese.fr/sites/default/files/pdf/Fiches/2021/FI04_climat_web.pdf
[3] Conseil d’État – « Avis sur un projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et ses effets » : https://www.conseil-etat.fr/ressources/avis-aux-pouvoirs-publics/derniers-avis-publies/avis-sur-un-projet-de-loi-portant-lutte-contre-le-dereglement-climatique-et-ses-effets
[4] Étude Fage-IPSOS – « Les jeunes face à la crise : l’urgence d’agir » : https://www.fage.org/ressources/documents/3/6294-DP_13-07-20_Enquete_FAGE-IPSOS_Les-.pdf

« Plus Jamais Ça ! Rhône » : Pas d’Amazon dans notre Zone !

« Plus Jamais Ça ! Rhône » : Pas d’Amazon dans notre Zone !

Le collectif Plus Jamais Ça ! Rhône, rassemblant des acteurs des luttes sociales et environnementales, exhorte les élu·es de la Communauté de Communes de l’Est Lyonnais de se positionner publiquement contre le projet de construction d’un nouvel entrepôt Amazon de plus de 160 000 m² à côté de l’aéroport Saint-Exupéry, dont le permis de construire est aujourd’hui à l’étude au tribunal administratif.

Vous trouverez ci-dessous la lettre ouverte qui leur a été adressée. 

En cas d’annulation de ce permis, le collectif demande aux élu·es de la communauté de commune d’empêcher la délivrance d’un nouveau permis de construire.

Le collectif « Plus Jamais Ça ! Rhône »

Contacts presse :

Sophie FERNANDEZ : 06 74 98 38 68
Antoine MOLINATTI : 06 35 90 34 27