Soutien des multinationales et demande de dissolution de la GALE : lettre ouverte des Soulèvements de la Terre

Soutien des multinationales et demande de dissolution de la GALE : lettre ouverte des Soulèvements de la Terre

La semaine dernière, le maire LR de Caluire Philippe Cochet et quelques autres élus ont publiquement pris la défense d’une des multinationales les plus toxiques de la planète et appelé à la dissolution du groupe antifasciste La Gale (Groupe Antifascite de Lyon et Environs).

Ce dernier avait commit la faute, impardonnable selon ces élus, de relayer un appel national à se mobiliser le 5 mars devant le siège de Bayer-Monsato. L’appel à mobilisation incriminé (https://lessoulevementsdelaterre.org/blog/assieger-bayer-monsanto-lyon) émane en fait des Soulèvements de la Terre et d’un certain nombre d’organisations comme Extinction Rebellion 69 , Youth For Climate, le Syndicat d’Apiculture du Rhône, les Faucheurs volontaires ou encore la confédération paysanne. Non contents d’afficher leur soutien aux glorieux inventeurs de l’Agent Orange ou du glyphosate en pleine période d’extinction critique de la biodiversité, Mr Cochet et ses collègues ont eu l’heureuse idée d’enjoindre les élus verts de la métropole à faire de même. C’est l’occasion de rappeler à ces écologistes, dans la  lettre ouverte ci-dessous, que leurs fondamentaux devraient plutôt les pousser à nous aider à mettre prochainement Bayer-Monsanto dehors.

Lettre ouverte des Soulèvements de la Terre en réaction à la demande de dissolution de la GALE

Comme Extinction Rébellion Lyon et Youth for Climate Lyon, les Soulèvements de la terre soutiennent le Groupe Antifasciste Lyon et Environs (GALE)  que nous remercions d’avoir relayé notre appel à agir contre Bayer-Monsanto.

En apportant leur soutien en 2022 à cette industrie mortifère, Philipe Cochet et les républicains ont eu à cœur d’étaler leur déni profond de l’état du monde qui les entoure.  Ces hommes d’un autre âge n’ont pas encore compris qu’il ne serait pas éternellement possible d’invoquer l’emploi pour recouvrir l’ampleur de la toxicité de la production de  cette multinationale : toxique pour l’environnement, les paysans qui utilisent ces produits ainsi que pour les ouvriers qui les produisent. 

Ces valeureux élus LR en profitent opportunément pour demander la dissolution de la GALE et appeler Grégory Doucet et Bruno Bernard, verts aujourd’hui à la tête de la métropole lyonnaises, à faire de même.  En 1945 à la sortie de la guerre, l’antifascisme était le discours officiel des organisations politiques du « monde libre ». Aujourd’hui, c’est la xénophobie qui dispute l’actualité au nationalisme pendant que l’antifascisme est au tribunal. À Lyon, les discours racistes se transforment régulièrement en actes. Ici comme ailleurs nous ne pouvons nous passer d’organisations antifascistes. 

Grégory Doucet et Bruno Bernard, plutôt que de hurler avec les loups comme certains vous y invitent, nous vous enjoignons – au nom de vos convictions politiques – à agir concrètement contre l’activité d’une des multinationales les plus notoirement coupables d’écocide au monde et contre sa présence dans la métropole.

En 2018, Bayer a acquis Monsanto et a installé son siège social français dans le 9e arrondissement de Lyon.

Ces deux entreprises ont montré en 50 ans toute leur nocivité. PCB, OGM, glyphosate, Round’up, gène Terminator, sang contaminé… La liste de scandales sanitaires et sociaux qui accompagne ces deux firmes est elle même un scandale. Il est par ailleurs à peine concevable que ces firmes existent encore tant leur histoire lointaine est une insulte aux populations : l’Agent Orange de Monsanto continue ses effets néfaste encore aujourd’hui.

La puissance de com’ de Bayer ne suffit pas à recouvrir les mensonges et intrigues de la firme : malversations, falsification scientifique et ghost-writting, fichage des opposants et journalistes, lobbying agressif. Pour rappel, Bayer-Monsanto n’a jamais reconnu la nocivité du glyphosate et n’a jamais fait amende honorable malgré ses multiples condamnations.

Nous pensons que chaque force écologiste doit agir localement, là ou son action est la plus à même d’avoir des résultats direct, pour démanteler chaque industrie qui participe activement à la dégradation de nos milieux de vie. Il est insupportable de voir Bayer-Monsanto trôner dans le 9ème arrondissement, assis sur tous ces scandales. Mercredi,  Extinction Rebellion Lyon est passé leur signifier par voie de peinture notre prochaine venue.

Nous ne voulons pas de sa nouvelle révolution agricole, l’agriTech, qui repose sur les satellites, la big-data, l’intelligence artificielle et la robotisation. Cette révolution sera synonyme d’encore plus de dépendance des paysans aux multinationales et aux start-up et permettra à Bayer-Monsanto de continuer à vendre son round’up.

Nous ne voulons pas de la nouvelle génération d’OGM « climate ready » qui adapteront le vivant à survivre au réchauffement climatique. 

Il faut changer de modèle. Et ce n’est pas le programme de Macron, France 2030, qui va changer la donne ! Bien nourrir les populations ne se ferra pas en investissant massivement dans la génétique, le numérique et la robotique comme le Président le soutient.

Libérons les terres de la chimie et des machines de Bayer-Monsanto. Rendez-vous le 5 mars à Lyon pour les assiéger  ! 

Contacts presse :

Margo : +33 6 41 47 23 58
Mail : presse@youthforclimatelyon.fr

AFFAIRE BÉTON LYONNAIS : Quand la Préfecture du Rhône protège les délinquants

Quand la Préfecture du Rhône protège les délinquants

 

Notre analyse suite au reportage de France 3

Mercredi soir, un reportage a été diffusé dans l’édition locale du journal de France 3. Encore une fois, la Préfecture couvre l’entreprise Béton Lyonnais, alors qu’elle sait parfaitement que l’industrie n’est absolument pas en conformité avec la règlementation.

Truffé de fausses informations disséminées autant par Me Neyret, avocat de Béton Lyonnais, que par Jean-Yves Durel, chef de l’unité DREAL du Rhône, on trie avec vous le vrai du faux.

Vidéo : Commencer la lecture à 2:10.

©FranceTélévision, Journal de la Métropole de Lyon 19-20 diffusé le 25 Novembre 2021.

👉 « Il peut rester des objets qui peuvent déplaire aux voisins », selon Me Neyret.

Vraiment ? C’est pour cela que le dernier rapport d’inspection de la DREAL (Service de la Préfecture) affirme que l’activité de stockage de déchets de l’entreprise s’effectue sur 6070 m², presque le double de ce qu’avait déclaré l’entreprise ? C’est aussi pour cela que « la situation est donc non conforme, car l’exploitant ne dispose pas d’un récépissé de déclaration pour cette activité » ?

Image : extrait du rapport de la DREAL du 06 Mai 2021

👉 « On a des mesures de contrôle tous les trimestres de la nappe souterraine », Me Neyret.

C’est pour cela que la mise en demeure du 07 Novembre 2019 rappelle que « le dernier relevé des mesures de surveillance des eaux souterraines date d’Août 2014 » ? À notre connaissance, une seule nouvelle étude de la qualité des eaux a été effectuée depuis cette mise en demeure, dont les résultats ont été porté à la connaissance du préfet le 11 Janvier 2021. Ainsi, le suivi de la qualité des eaux souterraines « tous les trimestres » selon Me Neyret, correspond à 1 étude en 2014 (étude qui plus est partielle, son deuxième volet n’ayant jamais été effectué) et 1 étude en 2021, plus d’un an après qu’elle lui soit imposée par mise en demeure ?

Image : extrait de l’arrêté préfectoral de mise en demeure de la société Béton Lyonnais du 07 Novembre 2019

👉 « On n’a pas de pollution environnementale avérée », Jean-Yves Durel.

Non, nous n’avons pas de pollution environnementale « avérée », tout simplement parce qu’aucune étude sérieuse n’a été effectuée. Il ne s’agit pas d’affirmer seulement par conviction que l’eau est polluée, mais de ne pas affirmer que ce n’est pas le cas lorsqu’on ne le sait pas. Comme dit précédemment, la seule véritable étude de la pollution des eaux souterraine qui devait être effectuée en 2014 est incomplète, et les auteurs de l’étude rappellent que les résultats de ce premier volet ne peuvent être utilisés seuls. Le deuxième volet n’ayant jamais été effectué, les données que nous possédons ne suffisent pas à affirmer qu’il n’y a pas de pollution. De plus, le captage d’eau potable de La Rubina dépasse aujourd’hui les normes de potabilité, comme le rappelle une délibération du Conseil de la Métropole de Lyon de 2018. Il semble donc que le sujet ne soit pas à prendre à la légère.

Image : compte-rendu d’une délibération du Conseil de la Métropole du 25 Juin 2018

🚜 Enfin bref, si payer les amendes administratives et astreintes suffisait à protéger l’environnement, ce serait connu depuis longtemps. Nous attendons des études sérieuse et surtout, une cessation d’activité sur le site où l’entreprise n’aurait jamais du s’installer de toutes façons, son activité y étant interdite par le Plan Local d’Urbanisme et de l’Habitat. Enfin, rappelons une fois de plus qu’en dehors des sujets traités dans le reportage de France 3, les mises en demeurent ne sont pas non plus respectées. Le droit du travail non plus.

✊ La lutte contre Béton Lyonnais n’est pas abandonnée, et elle va se poursuivre devant les tribunaux ! Une procédure d’urgence a été lancée par les riverain·es pour faire cesser l’activité de l’entreprise, et d’autres procédures devraient être lancées dans les prochaines semaines. On vous tient au courant !

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17 Septembre : La vie qui se révolte, le vivant qui se défend

17 Septembre : La vie qui se révolte, le vivant qui se défend

Le 17 septembre 2021, nous revenons, nous ripostons.
Extinction Rebellion Lyon et Youth For Climate Lyon s’unissent pour une action d’envergure 🦁

⛈ Face au désastre social et écologique mené main dans la main entre un gouvernement néolibéral qui ne dit pas son nom et des entreprises capitalistes voraces qui répandent la précarité sur leur passage, il est temps pour nous de contre-attaquer. 🦅

L’emmergence de cette crise sanitaire nous montre que nous sommes bel et bien, en marche vers la précarisation. 📉

Et le 6ème rapport du GIEC, tout juste publié, a mis a jour ses prédictions de 2014…

Alors que nous sommes acablé.e.s par des mesures liberticites et ultralibérales, les multinationales poursuivent sans inquiétude, LA DESTRUCTION DU VIVANT ET DU TISSU SOCIAL 💩

Deux nouvelles victoires contre Béton Lyonnais

Deux nouvelles victoires contre Béton Lyonnais

 

Une victoire pour les riverain·es, une défaite pour l’entreprise !

⚖️ Premièrement, la Cour d’Appel de Lyon a confirmé le fait que la pétition publiée par la riveraine de Béton Lyonnais n’était pas diffamante. La moindre des choses puisque celle-ci se basait sur des documents officiels produits par la Préfecture du Rhône et le Ministère de l’Écologie ! Mais cela fait quand même un poids de moins sur les épaules des riverain·es qui portent l’affaire depuis le début, et une 4ème victoire les concernant !

👩‍⚖️ Deuxièmement, le Tribunal Administratif vient de rejeter une première demande d’annulation des mises en demeure de la Préfecture du Rhône ! En effet, l’entreprise possède depuis plusieurs années un captage d’eau servant à son activité dans la zone de protection rapprochée d’un captage de la Métropole de Lyon, alors que cela est formellement interdit. Elle en contestait ainsi l’existence, alors même que plusieurs rapports (dont un sur lequel elle s’appuie elle-même) prouvent le contraire, et demandait l’annulation de la mise en demeure l’obligeant à le reboucher.

Pour remettre les choses dans leur contexte, Béton Lyonnais fait l’objet d’un peu moins d’une dizaine de mises en demeure l’obligeant à se mettre en conformité avec la loi suite aux constatations de l’Inspection des Installations Classées (DREAL) sur son site. Mais l’entreprise a pris l’habitude de les attaquer systématiquement en justice, de manière a gagner du temps. Mais si la procrastination fonctionne sur du court terme, ce jugement est la preuve que cela ne peut pas durer éternellement !

➡️ Les riverain·es, associations et avocats continueront la lutte contre l’entreprise en Septembre, et de nouvelles infos arriveront bientôt !

 

 

 

 

 

 

 

 

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Destruction des affiches publicitaires géantes de la place Bellecour

Destruction des affiches publicitaires géantes de la place Bellecour

Ce Dimanche 20 Juin au matin, des activistes de Youth for Climate Lyon ont rendues inutilisables deux affiches publicitaires géantes présentes sur les échafaudages de la place Bellecour. Constituant une atteinte visuelle à laquelle personne n’a consenti sur une place pourtant classée au Patrimoine Mondiale de l’UNESCO, la publicité, surtout quand elle est de cette ampleur, produit des effets lourds de conséquences sur la surproduction et la surconsommation, en incitant les citoyen·nes à consommer toujours plus. De plus, les multinationales Zalando et Renault promeuvent de cette manière un modèle de consommation qui n’est plus en phase avec la transition écologique et sociale nécessaire pour nos sociétés de demain. La Métropole de Lyon doit agir rapidement pour interdire ces bâches publicitaires agressives et ne servant que les intérêts des multinationales.

Un trop-plein de publicité

Depuis plusieurs semaines, des affiches publicitaires géantes étaient installées place Bellecour. Ces affiches nous imposent des messages publicitaires, qui nous poussent à la surconsommation.

La publicité dans l’espace public représente un gavage d’informations permanent auquel personne n’a jamais consenti. Et pourtant, chaque citoyen·ne reçoit en moyenne entre 1200 et 2200 messages publicitaires par jour1. Nous dénonçons l’emprise de celle-ci sur nos esprits au quotidien : que ce soit en termes d’incitation à la dépense inutile, d’invasion de notre temps de cerveau disponible ou de véhiculation de tous les clichés possible (sexisme, apologie de la finesse et d’une beauté conformiste,…), la publicité ne profite pas aux consommateurs et consommatrices, mais bien aux multinationales. En effet, les petits commerces n’ont pas accès à la publicité, surtout de cette envergure : 0,0002% des entreprises françaises monopolisent 80% des publicités2. Et quelles entreprise !

Des entreprises allant à l’encontre des enjeux d’une transformation écologique et sociale nécessaire

Pour la première, il s’agit du site internet de vente de vêtements en ligne Zalando. Cette entreprise promeut une vision consumériste du vêtement, en incitant de par sa conception et son existence à l’achat excessif et superflu de produits vestimentaires : utilisation d’algorithmes, de systèmes de points, de publicité agressive. La grande majorité des produits proposés par le site sont issus du travail d’emplois précaires (conditions de travail, revenus, sécurité sociale) et de l’exploitation des ressources naturelles. Enfin, la présence de ce site contribue à l’agonie des commerces de proximité détruisant l’économie locale (emplois, vie de quartier).

Pour la seconde, c’est un SUV hybride de la marque Renault qui est mis en avant. Cette voiture entre dans une dynamique de green-washing commune à de nombreuses marques du secteur. En effet, plutôt que d’amorcer une transformation de son activité, Renault préfère introduire un moteur hybride, ce qui implique un alourdissement conséquent de la voiture (et qui influe sur la consommation, donc sur les émissions de GES et de particules fines), afin de donner un aspect faussement écologique au SUV et d’échapper au malus écologique qui lui aurait été imposé à la vente. Mais sur ce point encore, le concept même de voiture électrique ne représente pas une solution à l’heure actuelle aux problèmes sociaux et écologiques : le besoin de terres rares pour les batteries ainsi que le celui d’électricité rendent le cycle de vie d’un véhicule électrique (ou hybride) délétère.

Les militant·es de Youth for Climate Lyon soulagent les yeux des lyonnai·ses

En réponse à cela, les militant·es de Youth for Climate Lyon sont allé rendre illisibles et inutilisables ces bâches publicitaires géantes à travers une action de désobéissance civile. Si l’action a bien réussi sur la bâche Renault, elle n’a malheureusement pas pu aboutir sur le deuxième échaffaudage. Mais les dommages déjà causés suffiront peut-être à voir la publicité retirée ?

Youth for Climate Lyon rappelle à la Métropole de Lyon et à la mairie centrale qu’elles ont été élues sur des programmes se voulant écologistes et sociaux. La question de la publicité dans l’espace public est une question urgente et facile à régler. Nous attendons donc une action rapide des pouvoirs publics sur ce sujet.

Contacts presse :

Theo GOSSET : 07 73 27 65 79
Marin BISSON : 06 51 12 62 66
Mail : presse@youthforclimatelyon.fr

Point d’étape sur l’affaire Béton Lyonnais

Nouveau procès pour la riveraine, attaque de Béton Lyonnais en justice,...

 

Point d’étape sur l’affaire

🚜 Nous voici de retour avec des nouvelles de Béton Lyonnais ! Après un bon moment d’absence sur les réseaux sociaux nous reprenons du service, mais la campagne ne s’est pas arrêtée pour autant et nous la continuerons tant qu’il le faudra !

🔴 La riveraine à été contrainte d’aller en justice suite à un procès lancé par le patron de Béton Lyonnais pour diffamation alors qu’elle ne s’appuyait que sur des faits réels. La première instance à été gagnée par la riveraine mais le dirigeant de l’entreprise a fait appel, le procès se tiendra donc demain (Mardi 6 Avril) à la Cour d’appel de Lyon !

✋ Suite à des travaux illégaux menés par l’exploitant sur son site, une nouvelle inspection de la DREAL a eu lieu en décembre dernier. Le rapport, que nous venons d’obtenir, constate une fois de plus que le dirigeant de Béton Lyonnais n’a rien fait pour mettre son site en conformité, ce pourquoi il a été condamné à payer 16 650€ d’amendes.

🍀 Du côté de la Métropole de Lyon et de la Ville de Décines-Charpieu, elles ont finalement écrit une lettre conjointe au Préfet du Rhône, lui enjoignant de faire appliquer au plus vite les mises en demeure condamnant l’exploitant à mettre son site en conformité !

📜 Mais comme l’application des mises en demeure ne peut suffire, Youth For Climate – Lyon, Extinction Rébellion Lyon,  Eau Bien Commun Lyon MétropoleAgir Pour Le Climat – Rhône et France Nature Environnement Rhône ont écrit une lettre à Mme Barbara Pompili, Ministre de la Transition Écologique pour l’inviter à saisir ses services sur cette affaire qui dure maintenant depuis 23 ans. Une copie ayant envoyée au Préfet du Rhône, nous espérons de sa part une action rapide !

✊ Enfin, nous gardons toujours notre objectif final en tête : faire fermer le site administrativement. Dans ce cadre, et en guise de première étape, France Nature Environnement Rhône envisage d’attaquer Béton Lyonnais en justice ! Le dirigeant de l’entreprise se retrouvera à nouveau au tribunal, et ses exactions environnementales pourront enfin être réellement reconnues et condamnées !

 

 

 

 

 

 

 

 

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